Le rattrapage survenu momentanément au printemps semble bien la conséquence d'un profond déséquilibre entre l'offre et la demande. En effet, l'affichage des tarifs en station-service a eu de quoi surprendre plus d'un automobiliste au printemps dernier, avec un prix du gazole au litre qui, dans certains points de vente, dépassait le super sans plomb 95. Or en France, mais aussi dans plusieurs pays d'Europe, le gazole a été traditionnellement moins onéreux que l'essence, et ce de longue date.

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