Le lobbying du CNPA et des autres organisations professionnelles a donc été bénéfique puisqu’il aura permis d’être reçu dès le vendredi après-midi par le député Gilles Savary, rapporteur de la loi Macron et par le cabinet du Premier ministre Manuel Valls.

 

Une séance de travail, souhaitée par le député Savary, s’est également tenue hier matin et a débouché sur un travail constructif. Le député Savary a entendu les principaux points que défendent les écoles de conduite :

- L’évaluation préalable en présentiel,

- L’apprentissage de la conduite ne sera pas dispensé par des « loueurs »,

- Les 20h d’enseignement pratique resteraient le minimum obligatoire.
 

 Les cartes sont désormais dans les mains des sénateurs, qui discuteront le texte en séance publique début avril. 
 

 Le CNPA Education Routière, première organisation professionnelle se félicite de l’avancée des travaux avec les parlementaires et rappelle que les auto-écoles ne se battent pas contre le droit universel au permis ni contre les mesures permettant de produire davantage de places d'examen, puisqu’elles en sont à l'origine.

Le CNPA souligne enfin que les écoles de conduite ne sont pas là pour être populaires mais pour éduquer à la conduite et assurer la vie des jeunes sur la route.

 

 

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